Compte-rendu : 20 km de Paris

Hello tout le monde,

Dimanche dernier, j’ai eu l’occasion de participer à cette mytique course Parisienne, les 20 km de Paris. Pour tout vous dire à la base, je devais être accompagnée de mon amie Justine, mais la faute à pas de chance, elle s’est fait une petite blessure qui l’empêchait de participer à cet évènement. J’avais la chance de pourvoir convier quelqu’un avec moi et il fallait que je remplace Justine, c’est donc naturellement que j’ai pensé à Pauline (pau_pyy). Pauline je l’ai connu sur Instagram, c’était une abonnée, puis un jour elle est venue à l’une de mes sessions. Son naturel, sa simplicité et sa gentillesse m’ont bien plu et puis nous avons  fait connaissance. Pauline c’est finalement une abonnée, une lectrice, comme vous, grâce à qui je peux vivre ce genre d’expérience. Je me sens un peu redevable de tout ça, mais je suis surtout reconnaissante et heureuse de pouvoir partager ces moments avec vous, comme pour la Parisienne.

Je vous propose aujourd’hui un compte-rendu un petit peu spécial, puisque j’ai mis Pauline à contribution !

Les ressenties de Pauline

 » Première course officielle et pas des moindres. Une semaine avant les 20km de Paris, Amélie m’a proposé de participer avec elle à la course. Je dois avouer, j’ai d’abord hésité, car c’est une distance que je n’avais jamais atteint jusqu’ici. Mais une course comme celle-ci, ça ne se refuse pas. C’est parti, je me lance et j’écoute tous les bons conseils pour vivre cette course dans les meilleures conditions.

Jour-J : Retrait des dossards, puis nous nous sommes rendues dans le sas départ de 2h05. Le stress de la première course disparait après plus d’1h30 d’attente, on se lance.

C’est parti ! départ du pont de l’Iena. Les cinq premiers kilomètres passent à une vitesse, je n’en reviens pas, mais un fichu point de côté me gêne. Puis, nous arrivons dans le Bois de Boulogne, quelques personnes sont là pour nous encourager. La fraîcheur est là et le point de côté s’en va.

10 ème km/ Nous sommes à la moitié, je prends au passage des fruits secs et un peu d’eau.  Le rythme est toujours là, les gens nous encouragent.

10-15 km/ Retour sur les quais de scène, je décide d’accélérer un peu la cadence, je tiens bon, pas de douleurs.

15-17 km/ Allez plus que 5km et on arrive ! Je dois avouer que cela a été un peu plus long à mes yeux. Mais toujours ce plaisir de découvrir cette ville.

19-20 km/ J’accélère, j’accélère, Amélie n’a cessé de m’encourager durant toute la course et me criait « Allez Paupau !! On arrive !!  » J’aperçois l’arche d’arrivée; je cours plus vite, ça y est !!! JE SUIS ARRIVEE ! Je viens de courir les 20km de Paris.

Une course où je n’ai pas vu le temps passer, ce fut tellement beau. Le plaisir rien que le plaisir, je ne regrette pas !

Merci à toi « Toto », Amélie merci de m’avoir permis de vivre cette expérience que je n’oublierais jamais. Ce week-end à tes côtés a été un réel plaisir. ♥ Merci…

Amélie :

Anne-Laure (Bonjour_Darling) et Marion (fifou_lhirondelle) étaient de la partie ! Nous faisions toutes parties de l team Opel « Général Motors« . Nous avions des petits conseils de sécurité écrit dans le dos 🙂 Les filles sont parties juste légèrement avant nous, mais nous avons patienté ensemble dans le sas interminable ! Comme disait Pauline l’attente fut longue, nous sommes parties aux alentours de 11h ! À la base je pensais faire la course en solo, mais sachant que Pauline faisait sa première course et que c’était moi qui l’avais embarqué la dedans, je me suis demandée ce que je préférais et c’était bien évidement d’être à ses côtés ! Je voyais déjà mon père râler parce que je ne lui avais pas ramené de bon chrono depuis un petit moment, tout ça parce que je cours avec les copines ! Le RP, vous le savez, ça m’est passé, je ne cours plus après le chrono, mais plutôt après le plaisir (comme Pauline). Je suis heureuse d’avoir vécu de tels moments, pendant cette course, j’ai vu les yeux de Pauline briller, je sentais qu’elle était bien et moi aussi. Je l’ai portée jusqu’à l’arrivée !

Quelques temps avant la course, j’avais eu une ampoule au pied, je pensais que ça passerait avec un pansement, mais non, pendant la course, j’ai commencé à souffrir à partir du septième kilomètres, alors j’ai serré les dents, bien que je n’avais souci pour le rythme de course, mon pied me faisait mal. Pour le coup j’ai pensé encore une fois à Papa ! Lui il dit que même si on a mal, il faut continuer (bien-sûr c’était une douleur sans gravité), mais je ne vous cache pas que j’étais bien heureuse de franchir cette arche d’arrivée !

Anne-Laure et Marion, ont finalement couru au même rythme que nous, Marion étant en prépa marathon, cela lui faisait un bon petit entraînement, avant son second marathon !